Pas facile de communiquer
Tous les types de médias sont des outils d’information permettant de sensibiliser le grand public à une thématique.
Le face à face n’est déjà pas simple alors à grande échelle… On se sent tout petit.
Il s’agit de décrire d’autres aspects de la chasse que ceux généralement discutés. Lorsque l’on ne côtoie pas de chasseurs on se dit qu’ils n’ont pas de raison d’être vu que tout se passe très bien !
À Genève, seule entité politique occidentale “sans chasse”, 200 sangliers sont tirés chaque année par des fonctionnaires. Cela coûte 1 million de francs suisses par an pour 3’000ha de forêt et 10’000ha de cultures.
Aucune entrée d’argent ne revient des quelques 1’000 chasseurs estimés à Genève et qui vont chasser dans d’autres cantons suisses ou d’autres pays…
Observer la réception des éléments exposés permet d’évaluer l’évolution des représentations sur la chasse et le chasseur en fonction des éléments d’information donnés.
Les présentations publiques ont l’avantage de donner accès aux réactions selon les informations fournies.
Les émissions radios et télévisées permettent d’augmenter la visibilité de l’approche.
Les articles sont un moyen de toucher des personnes intéressées par la thématique et donc un public restreint.
Les réseaux sociaux ont le pouvoir d’atteindre bien plus de monde lorsque l’on sait les utiliser.
L’audiovisuel est actuellement la manière de toucher un maximum de personnes en peu de temps : vive les vidéos ! Gagner?!
