Chasse au sanglier dans le Jura Vaudois
Sur les traces du sanglier. Tenter de comprendre cette passion. Suivre cette chasse en cinq étapes. S’ouvrir à une nouvelle prise de vue. Description d’une petite traque dans le jura vaudois. Cinq chasseurs, 5 chiens qui reniflent, certains qui dénichent. Pas de bête noire tirée dans cette journée mais des émotions intenses ressenties malgré tout.
- Faire le pied -> La traque du sanglier : un art de faire, un art de vivre ! Une activité si utile à la collectivité !
- Tout tenter, on ne sait jamais -> Parfois les sangliers peuvent se reposer dans des biotopes qui paraissent peu adaptés.
- La traque -> La relation entre le chien et son maître est inimitable et chacun la vit à sa manière. Chaque traque est donc unique.
- Aux postes -> Au poste, il faut se fondre dans l’environnement et devenir transparent pour ne pas se faire remarquer.
- Souvenirs au poste -> Le poste peut laisser des émotions qui restent à jamais gravées dans la mémoire.
Chasse au cerf dans le Jura Vaudois
Il vaut la peine de segmenter le récit d’une chasse. Tant d’actions et d’émotions habitent une de ces journées où des passionnés aiment se retrouver pour partager une partie de leur monde.
Un cerf observé. Une biche tuée. Les sensations révélées lors de l’immersion dans une pratique menée par une équipe de 15 messieurs. Des passionnés aguerris affrontant très sereinement la fraicheur d’une aube de novembre.
Rester immobile dans le froid de l’aurore… Garder une image à jamais du roi de la forêt aux aguets. Voir être évidée et transportée une biche bien nourrie des jeunes arbres de la forêt – pour le plaisir des forestiers contents d’imaginer que les bois vont pouvoir se régénérer.
Le rendu de cette journée en deux étapes :
Chamois en Valais
Suivre le chamois en plusieurs étapes.
Tant de chose à dire. Un chamois qui s’écroule. Une cabane perchée. Des discussions dans un calme serein. Une nuit partagée dans des lits superposés. Une ribambelle de chamois rencontrés. Une chasseuse fascinante chargée d’histoire familiale et d’expérience dans sa montagne.
C’est en juillet 2019 que j’ai décidé qu’il était temps de dévoiler mon identité.
J’ai attendu de présenter et faire connaître mon travail sur Genève avant de signer en mon nom.
On est si vite critiqué lorsqu’on s’exprime sur la chasse sans s’y opposer !..
Maintenant beaucoup me connaissent et savent que mon ambition est de partir du cas genevois pour entamer la discussion sur « la chasse ». Ce terme fourre-tout qui contient tant de pratiques et de différents pratiquants ! Il me paraît primordial de parler du sujet afin que l’on ne voit pas figurer les chasseurs uniquement dans les articles de presse calomnieux. Expliquer tout ce que l’État doit gérer en l’absence des chasseurs donne envie d’en savoir davantage sur les chasses.
J’espère qu’il a été compris que je ne cherche pas à défendre les chasseurs envers et contre tout mais bien à informer les non-initiés sur les différentes pratiques de chasse pour que chacun soit en mesure de se positionner en connaissance de cause.
Ce que j’ai pu faire apparaître dans Chasse & Nature : des descriptions précises d’action de chasse est un excellent moyen de faire comprendre une pratique de chasse à mon sens. Ce qui a été observé, ce qui s’est passé, les émotions qui ont été ressenties. Des aspects peu exprimés par les chasseurs et impossibles à imaginer pour des non-initiés !
Donc si vous savez où diffuser ces articles pour qu’ils soient lus par d’autres que des chasseurs, faites-le moi savoir. Commentaires et questions sont toujours les bienvenues.
Vous l’aurez compris, j’aime échanger sur les effets de la disparition de la chasse traditionnelle à Genève tout autant qu’observer et décrire toute pratique de chasse ainsi que discuter d’idées/possibilités pour informer.
