Remerciements

Je tiens à exprimer ma gratitude à celui qui m’a permis d’avancer dans ces projets : Antoine Spillmann. Par conviction de l’intérêt de mon approche, il a su lever des fonds pour réaliser la recherche sur Genève en gardant l’espoir que toutes les données seraient récoltées, et je suis heureuse qu’on y ait cru à deux. Il continue à soutenir des projets qui ont pour objectif de renseigner sur des pratiques de chasse.
Ma reconnaissance à toutes les personnalités qui ont alloué les moyens de la réaliser des projets si riches.
Que serait la recherche sans bailleurs de fonds ?…

Merci énormément à Christophe Subilia et Yves qui me l’a présenté. Un partage de connaissance qu’ils ont prôné : c’est ce site complexe qu’il m’a aidé à créer. Après avoir construit tout le squelette de la bête, il m’a appris à utiliser WordPress. Je peux aujourd’hui contrôler (presque) tout mon contenu et faire évoluer mon site comme je l’entends ! C’est épatant ! Christophe est extraordinaire : d’une grande patience, confiance et générosité. Waou ! Bravo et Merci ! Sans eux je n’aurais jamais pu vous présenter tout ça aujourd’hui.

Je n’aurai rien pu faire sans ceux qui m’ont aidé à mettre en forme mes idées.
Félicitations à Felix Brüssow pour toutes ses illustrations de mes pensées (réalisées pour l’étude sur Genève et éparpillées dans ce site). Ce dessinateur du tonnerre, passionné de plantes et d’architecture a su mettre son art au service de mon approche. De magnifiques capacités à échanger, élaborer et présenter les notions pour trouver une entente conceptuelle qui convienne !
Merci à Sibille Vieira d’avoir réalisé des vidéos avec une “tarée” comme moi. Merci à Till Doucedame pour sa musique qui enchante et à à Nicolas Waechter, Maëli Astruc et Leonhard Kanapin pour leurs conseils avisés.
Phil Péril qui a conçu le site de l’étude sur Genève : teutates.org et qui a rendu le calculateur fonctionnel en ligne – des centaines de calculs qui furent un vrai casse-tête ! Blam agency : beau boulot à petit prix ! À souligner aussi les courageux qui ont vérifié les calculs du modélisateur : Mélanie, Quentin, Alain Rauss et Pierre Feuvrier.
Je remercie Laeticia et Dimitri de leur investissement et de l’agréable façon de discuter la mise en page de l’étude sur Genève. 
Je souligne l’efficacité de Satiscan dans l’analyse des données quantitatives et la disponibilité de Matthias Brunner et de Clément K’Draon toujours prêts à donner un conseil avisé.

Des échanges d’individu à individu d’une productivité inouïe pour arriver au résultat désiré. Mille fois merci les amis de m’avoir permis de rendre ce projet digeste pour un public large et occupé.

Je tiens à remercier ma famille, mes amis et proches qui partagent mes questionnements relatifs à mon domaine de recherche – qui n’est pas des plus reposants ! Merci à ma mère Mo Piachaud toujours prête à me lire pour vérifier l’ortographe de mes écrits. Ma reconnaissance éternelle à Louis Gaillard qui a eu la gentillesse de relire l’entité de mon travail sur Genève afin d’éviter des fautes qui salissent la lecture et est toujours dispo pour m’aider à résoudre mes problématiques informatiques… si réguliers… Sa grande considération de tous les animaux (même les invertébrés) m’a ouvert l’accès à un univers de pensée que je connais peu – bien qu’il m’intéresserait de comprendre les dynamiques conceptuelles de tous les groupes d’acteurs.

Toute ma reconnaissance au Service genevois de gestion de la faune : la Direction Générale de l’Agriculture et de la Nature (DGAN) devenu Office cantonal de l’agriculture et la nature (OCAN) qui nous a donné les informations requises pour répondre à la question des conséquences financières d’une gestion exclusivement étatique. Résultats qui m’ont permise d’entamer ma démarche d’information sur les multiples chasses qui existent. Merci à tous les employés que j’ai pu rencontrer et à ceux qui ont travaillé pour récolter toutes ces données. Un investissement en temps non négligeable pour un service étatique qui réalise de multiples actions pour que tout élément naturel puisse avoir des chances de se développer. Je tiens à saluer le dévouement des naturalistes genevois pour l’augmentation de la biodiversité genevoise qui a permis de construire un environnement genevois d’une grande qualité. 
Je tiens à souligner l’investissement de Eric Matthey qui a accepté de lire mes écrits sur les forêts genevoises pour y ajouter des éléments précieux. Je remercie également François Erard pour les compléments amenés au passage sur l’agriculture du Chapitre : Les effets sur l’environnement d’une gestion sans chasseurs.

Une grande reconnaissance à tous ceux qui contribuent par des échanges informels à l’augmentation de mes connaissances sur le lien à l’environnement, à l’animal et au sauvage : Anne et Patrick, Denis, Raymond, Yves, Alain, Fabian, Christian, Marc, Guillaume, Patrice, Vincent et bien d’autres. Je suis très reconnaissante à tous mes collaborateurs qui discutent mes écrits et mon approche ainsi que tous ceux prêts à me renseigner sur des notions touchant la gestion de la faune : des informateurs qui enrichissent constamment mon analyse. J’en profite pour énoncer ma profonde gratitude à tous les transmetteurs de connaissances prêts à débattre de tout sujet sur la problématique du lien humain-animal, du rapport à son environnement et aux autres êtres naturels.

Merci à EnQuêtes qui m’apporte un soutien administratif pour réaliser mes recherche en tant que salariée de cette association de jeunes anthropologues qui tentent de faire le lien entre l’académie et la cité. Je remercie énormément Raphaël Rey qui a suivi mon étude sur Genève pendant trois ans et a de plus permis à cette association de perdurer. Ma reconnaissance également à Maude, Vesna, Bastien et Mélanie qui ont pris le relais.

UN GRAND MERCI à vous tous : prêts à lire et repenser sur ce sujet de société ! Sans vous que serait devenu cette étude ?

Toute ma reconnaissance aux passionnés de chasse qui m’ont donné à voir leur monde, expliqué leur vécu et leurs émotions. Ils m’ont permis d’approcher certains pratiques de chasse en considérant ma forme physique (enceinte parfois) et en étant ouvert à ma démarche de communication et d’évolution. Échanger sur leur perceptions et ma conceptualisation de leur art est toujours très intéressant. Voir leurs réactions face à des outils d’information produits est très enrichissant. Accepter sa reformulation (à travers mon filtre) pour une bonne description de cette activité. Je salue la résistance de certains qui m’a permis de réaliser certains aspects ainsi que la réticence d’autres à l’étude sur Genève – qui a révélé les difficultés auxquelles le monde cynégétique fait face dans la société.

Je tiens à souligner l’ouverture de la majorité du monde cynégétique à ma démarche pluridisciplinaire qui me permet de continuer à croire en ma façon d’appréhender le sujet : décrire les pratiques de chasse, en discuter et les adapter plutôt que de les voir disparaître.

Merci à Pierre Challandes et Maryse, amoureux des animaux prêt à discuter des modes de chasse respectueux et à Jérôme Duplain de la Station ornithologique suisse qui m’a informé sur la disparition des perdrix à Genève comme partout en Suisse. Sans oublier membre de la commission de la faune pendant des dizaines d’années, investi pour discuter avec les autres groupes d’acteurs, des mesures de régulation des animaux occasionnant des dégâts (AOD) à Genève et qui a réitéré l’expérience avec mon étude.
Je salue les agriculteurs-viticulteurs du Mandement qui m’ont donné à voir la coexistence de leurs cultures avec la faune sauvage.
Merci aux 500 utilisateurs de la nature genevoise qui ont accepté, aux sorties de courses ou entre deux mails, de consacrer une dizaine de minutes à réfléchir et échanger sur ce sujet de société. Je suis aussi reconnaissante aux dizaines d’acteurs, pas forcément touchés par la problématique, qui se sont rendus disponibles une heure ou plus pour s’exprimer sur la problématique de la gestion de la faune chassable. Merci aux volontaires des groupes de travail qui permettent d’avoir des avis divergents sur des sujets si touchants.

Je salue tous ceux intéressés aux conséquences de la disparition des chasseurs dans un espace de gestion limité, des personnes prêtes à discuter de leur vision, parfois arrêtée, pour enrichir d’éléments la notion de la gestion de la faune chassable – notion qui ne concerne que les animaux occasionnant des dommages (AOD) à Genève. Leurs impressions à l’égard de la chasse et leurs émotions face aux animaux sont précieuses. Tous mes interlocuteurs qui ont l’envie de partager des opinions sur les divers aspects de la coexistence avec le sauvage. 

J’en profite pour saluer la Force de la Nature qui offre la vie sous les formes les plus diversifiées.
LA Nature : l’énergie des éléments – solide, liquide, gazeux – et l’énergie du cœur. Ce feu qui, actif, peut transformer ce qu’il touche en ! Tous ces êtres vivants qui chantent, bourdonnent, papillonnent, grognent, grommellent, brament : communiquent à leur manière et interagissent. Cette nature qui nous habite même si parfois l’humain l’ignore ! Cette force qui nous pousse à survivre et faire perdurer nos gènes. La sélection naturelle… phénomène assez brutale.

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